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poèmes coquins

Mercredi 16 septembre 3 16 /09 /Sep 15:20
ce matin j'avais rendez-vous avec ma spy, c'est devenu la mode en 2000 lol
donc je vais à ce rendez -vous, et comme le but et que je fasse un travail sur moi, je prends ses conseils trés à coeur
et il y avait un but que je m'étais fixé "me sentir mieux dans mon corps pour me sentir mieux dans ma tête"
pour lui montrer que j'étais sur le bon chemin, je me suis habillé coquette

sans pour autant être vulgaire!!!!
une mini jupe noir et un pull gris chiné des bas et mes bottes, un maquillage léger

j'arrive à son burreau, je me présente au secrétariat, on me fait attendre dans la salle d'attente, la chaleur est étoufante à l'interrieur pourtant il ne fait pas si froid dehord, mon tour arrive, j'entre dans son burreau, qu'est ce qu'elle est belle et pas mariée en plus, une brune élancée pulpeuse, j'entend mon nom au loin c'est elle "madame veuillez prendre place"

je me mets sur le divan, et nous commençons la séance aujourd'hui elle m'a mis une heure puisque la dernière fois il y en avait tellement à dire qu'une demi heure n'avait pas suffit.

et nous revenons rapidement sur ce que je lui ai déjà dit pour voir les progrets que j'ai pu faire
elle me fait la remarque sur ma tenue qui est déjà mieux et elle s'approche en m'éfleurant les cuisses, en souriant elle me dit "ça aurait été dommage de continuer à cacher de si jolies fesses!!!"

elle semble surprise au fait que je ne rougisse pas et qu'au contraire je l'invite bientôt du regard.

elle me demande si j'ai fait des achats pour me sentir mieux au niveau vestimentaire et je lui répond que oui j'ai achété de la lingerie et justement là je porte un nouvel ensemble



je lui propose de lui montrer en précisant que c'est simple mais coquet, là c'est moi qui fut surprise quand elle acquiessa, me voilà donc en sous-vêtements dans le burreau de ma spy, heureusement qu'elle ferme la porte à clef
je rie amusée de la situation car c'est pas pour dire mais elle était habillée aussi de façon trés sexy, tailleur court avec un top en soie, des bas et des talons aiguilles, n'importe qui flasherait sur elle, mais là c'est moi qui était là.

elle s'approcha de moi à nouveau, je sentais son souffle chaud dans mon cou je m'étais assise sur le divan et elle était derrière moi.

et elle me demanda de continuer la discution et je décidé qu'il était temps que je lâche ma bombe 

voilà je suis mariée mais j'aime les femmes et je sais pas comment faire car mon mari est jaloux et je l'aime mais dés que je vois une jolie femme je me retourne et fantasme sur elle.

"ben voilà on y arrive me dit-elle 

et moi, quelle est votre attirance envers moi "

je sourie et lui répond qu'effectivement je la trouve trés attirante!!

elle me carresse légèrement l'épaule et me dit qu'elle aussi me trouve séduisante
elle vient face à moi et m'embrasse tendrement et j'ai répondu à son baiser 
je l'ai carressé à mon tour en passant sous son tailleur, et délicatement nous nous sommes enlacée pour finir sur son tapis

nous nous sommes titillé les seins de la bouche, de la langue et ma douce psy m'a fait connaître le plaisir au féminin



 
quand fût venu le temps de nous quitter elle m'embrassa tendrement et me remis un autre rendez vous pour la semaine suivante.

j'ai hâte d'être à la semaine prochaine!!!!!!
Par ninilove - Publié dans : poèmes coquins
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Dimanche 13 septembre 7 13 /09 /Sep 15:26

toi


Notre complicité, nos rires me manquent

Les délices découverts à cette petite table d’un restau me manquent

Nos caresses silencieuses dans la voiture ou devant la télé me manquent  

Les câlins sur canapé me manque
Ce qui a suivi, si long, si savoureux, plus que jamais… me manque
Ton regard sur moi à la tombée du jour, étonné, anéanti de plaisir, me manque
Ton regard sur moi, indéfinissable, ce dernier matin dans le miroir, me manque

Toutes ces heures magiques, ces sourires, les gestes que tu as faits, tes attentions, ta tendresse surtout, tout ce qui fait que je t’aime et qui ne se remplace pas, qui ne s’achète pas, qui ne se joue pas… me manquent
Tous les mots que tu n'as pas encore dit, si ce n’est que je te manque… me manquent
Nos joies me manquent reviens moi
TU me manques...

Par ninilove - Publié dans : poèmes coquins - Communauté : les couples
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Mardi 8 septembre 2 08 /09 /Sep 15:33
ce matin nous sommes parti mener les enfants à l'école
et au retour au lieu de tourner pour la maison tu vas tout droit
mais que ce passe t-il encore dans ta tête
tu roule un moment quand tu décide de t'arrêter devand un sentier
qui mène dans un champ ou plus loin il y a comme un petit mais tout petit bois
je te regarde l'air coquin j'ai deviné tes pensées tu es nostalgique de nos 20 ans
j'ai sur moi une petite jupe en jean's et un top noir, et des souliers ouverts à talons
faut dire qu'il fait encore trés chaud aujourd'hui, donc nous voilà à l'arrêt dans ce petit bois
et je m'apprête à descendre de la voiture, quand tu pose ta main sur ma cuisse,
je reviens contre mon siège, tu m'attrappe le visage et m'embrasse fougueusement
comme autrefois, ta main reviens sur ma cuisse et remonte tout doucement  vers mon intimité qui est moite d'envie
tu me caresse tendrement et passe ta main sous mon string ou l'humidité se fait déjà sentir!!
j'ondule sous l'effet de tes doigts, et l'envie se devine sous ton pantalon qui est trop  serré pour ta délicieuse verge,
à l'étroit à l'avant je décide que nous basculions à l'arrière, une fois installée je t'attire à moi et prend ton sucre d'orge pour le caresser et lécher, gober, titiller du bout de ma langue, me voilà nue devant toi, tu paraît émerveillé comme au premier jour devant mon corps qui est là à attendre  son supplice, tu me dévore des yeux, et ta langue suit le chemin qu'ils tracent, tu me caresse, tu ne veux pas en laisser une parcelle, toutes les partie de mon corps y passe, un orgasme me transcende, voilà que je m'enfonce dans le siège, tu me souris une fois le calme revenu dans mon bas ventre, nous reprenons nos carresses, et je passe par dessus.


je m'empâle pour mener la dance, car j'ai decidé que cette matinée n'en finirait pas.
sans nous en rendre compte un fermier est arrivé avec son tracteur pour ramassé la paille mais voyant la voiture, il s'est arrêté plus loin et s'est approché à pied, mais se rendant compte que nous étions trés occupé il s'est adossé à l'arbre pour nous laissé finir, et il s'est sorti la tige du pantalon pour se masturbé, je l'ai aperçue et m'en suis amusée car je me suis mise de façon à qu'il voit bien la scène et tu es entré dans mon entrée secrète sans peine, puis l'autre, mon antre était trempée tu avala mon miel et tu repris et nous partîmes dans un bel orgasme, notre voyeur nous suivit, et tu l'entendit, je me suis mise à rire car je te sentais gêné,  y-a pas de quoi il en a profité aussi, il ne peut donc rien dire, d'ailleurs il nous a fait un clin d'oeil, nous nous sommes rhabillé avant de reprendre la route vers la maison pour préparer le repas pour nos petits montres qui aller rentrer de l'école.
Par ninilove - Publié dans : poèmes coquins
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Dimanche 6 septembre 7 06 /09 /Sep 20:16



Dans une étroite rue
fraîche, rose et pentue
nous avons surpris au travers de persiennes
un jolie couple de lesbiennes.

C'est dans un atelier de peintre
que les jeunes femmes dans leur étreinte
se carressées mutuellement
sans se douter qu'on les épiait.

Sans y être invité du tout
tu m'invite à approcher à pas de loup
les yeux grands ouverts comme un oracle
pour ne rien louper du spectacle.

Si beaux dans leur passion dévorante
leurs deux corps sensuels s'enchevêtrent,
inextricable toile de seins et de ventres
que nous contemplons par la fenêtre.



Cuisses ouvertes
sur langues expertes,
fesses tendues
en des mains ingénues :

tout concourre dans cette danse
à faire couler l'amour, à oublier qu'on pense.

Noyées dans leur plaisir
les deux chattes ont l'éclat d'un saphir
et rayonnent dans nos têtes,
invitent nos sens à la fête !

C'en est trop pour ta verge dressée
dans ton slip trop serré,
je décide de te libérer, je prend ton sucre d'orge en bouche
l'orgasme soudain te prend avant même que j'ai le temps
de  caresser ta vigoureuse pine
d'humeur coquine une fois engloutie ta semence


je m'invite chez ses douces coquines
elles me sourient et m'acceptent dans leur duo
et toi tu garde ta place de voyeur
pendant qu'elles m'initient à leur acte d'amour
nous explosons tous les quatres dans un orgasme incroyable
je les remercie et te rejoint
nous continuons notre ballade de l'aprés midi....


Par ninilove - Publié dans : poèmes coquins
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Vendredi 4 septembre 5 04 /09 /Sep 21:33
aujourd'hui c'est journée grand nettoyage, donc je sors le nécessaire, chiffon, aspi, seau etc...
je commence par les poussières puis ce sera l'aspi, mais aprés deux heures je me rend compte que tu m'observes avec un air que je connais bien, tu t'approches de moi à pas de loup mais je fais mine de ne rien voir et je continue d'épouster


ayant un goût bien précis pour mes tenues je suis évidemment en mini-jupe, et donc perchée sur mon tabouret pour atteindre les étagères du haut te donne une vue bien agréable.
arrivé à ma hauteur tu me parle langoureusement et tu commence à avoir les mains balladeuse, je peste car il y a tant de choses à faire mais tu aimes mon air boudeur et d'ailleurs ça t'amuse, tu fais mine d'aller te servir un verre mais en faît tu vas sortir un de mes joujoux, un oeuf vibrant qui se déclenche à distance, et tu reviens vers moi, positionnée comme je suis tu n'as aucun mal à écarter la ficelle de mon string, et de glisser l'oeuf dans mon antre, je te repousse avec mon chiffon mais je souris du regard.
tu vas te rasseoir avec ta mini télécommande, comme je te tourne le dos je ne vois pas ce que tu fais, mais en faît tu es en train de te carresser la main dans le jean, tout en me regardant tu déclenche l'oeuf, un petit sursaut mais je continue avec entrain, les poussières finies, je branche mon aspi toujours en faisant semblant de t'ignorer.


le fait de marcher en aspirant accentue l'effet de l'oeuf et tu t'en rend compte tu augmente les vibrations j'en lâche le manche pour mettre les mains sur mon bas ventre, je mouille et instinctivement je mets la main sous ma jupe pour me caresser légèrement. humm quel délice, tu me fais un signe de tête, pour que j'éteigne l'aspi et te rejoigne dans le canapé. j'obéie docilement car je suis à la limite du plaisir, et j'en veux plus à présent...



tu enlève mon string et me fais écarter les jambes, tu retire l'oeuf, tout en me caressant et en me léchant, tout en préparant une feuille de rose, un doigt puis deux humm, le miel coule et tu avales tout, un premier orgasme m'arrache un rugissement telle une féline.

j'ai aussi envie de te faire plaisir donc nous basculons en 69, je prend ton sucre d'orge en bouche, je le lèche,l'aspire, le titille avec ma langue, pendant que tu t'occupe divinement de mon abricot...



tu sens que tu vas venir et tu veux faire encore durer le plaisir donc tu décide de changer de position, tu me fais mettre face au dossier du canapé ainsi tu peux me faire minette et préparer la deuxième entrée, puis tu te lève me redresse légèrement et tout doucement tu entres dans cette caverne secrète, juste sur le bord car tu n'as pas envie de me faire mal mais tu m'as tellement bien préparée que finalement ce n'est pas si difficile de t'insérer, tu entre et ressors, je me carresse le clito, je suis trempée, une deuxième secousse, mais tu me retiens par les reins pour que je ne m'éffondre pas, tu es heureux de me faire prendre ce plaisir, mais tu as du mal à te retenir, je décide donc de passer un petit moment à te caresser avec délicatesse avec une huile parfumée le torse, le ventre, quand tu sens que le moment est venu de reprendre nos ébats bestials, tu me fais basculer sur le tapis du salon, tu me mets un peu d'huile sur les seins et le ventre tu me carresse, j'ondule telle une chatte, je ronronne, tu me lèche de nouveau, et tu entres, des aller-retours tantôt tendre, tantôt énergique, pour finir dans un orgasme électrisant, tu retombe à mes côtés, nous sommes épuisés, en sueur, il est temps de prendre une douche, mais sera t-elle coquine comme la dernière fois ????
Par ninilove - Publié dans : poèmes coquins
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