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poèmes coquins

Mardi 1 septembre 2 01 /09 /Sep 21:20
j'aimerai cette nuit que tu me prennes comme une inconnue
que tu aurai croisé dans la rue,
j'aimerai que tu m'emmène faire des folies de nos corps
n'importe où mais que notre amour soit fort
j'aimerai que tu m'émerveilles, de douceur vers une douce torpeur
la nuit avec une légère lueur, dans tes bras je n'aurai plus peur
j'aimerai que tu me fasses connaître ce doux vertige
que l'on appelle orgasme, avec ton sucre d'orge telle une tige 
j'aimerai que mon miel coule tel un élixir
que tu t'abreuves de ce doux plaisir
oh j'aimerai tant de choses !!!!!!!!!
  
Par ninilove - Publié dans : poèmes coquins
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Dimanche 30 août 7 30 /08 /Août 15:48

le mois dernier j'ai participé à un jeu et comme d'habitude sans grande conviction, mais il s'avère que cette fois-ci, la chance fut avec moi car la semaine dernière j'ai reçu un courier avec 2 billets à l'interrieur pour une croisière vers les îles vierges. le temps de pouvoir placer les enfants chez mes parents et nous voilà parti. avant de monter à bord tu me demande de te faire une promesse, nos relations sexuelles devaient être exclusive il ne devait pas y avoir d'intermédiaire, ok mon chou mais il va te falloir être à la hauteur!!!


parce que mes yeux papillonnaient déjà sur toutes ces belles femmes qui montaient avec nous.
une fois les baggages apportés à notre suite, tu me demanda de me changer pour mettre quelque chose de plus sexy, étonnée par ta demande, j'accepte et je vais vers ma valise, je l'ouvre et surprise tous les vétements que j'y avais mis ont été troqué par d'autres beaucoup plus affriolants et des sextoys, amusée je choisis une petite robe parme qui sur moi se fait toute en transparence et laisse deviné mon abricot lisse sans petite culotte, et ma poitrine oppulente qui tient sans armature, j'enfile de petits talons et nous voilà parti pour une petite visite du bâteau, d'abord les boutiques ou je m'aperçois qu'il y a un petit coin où il y a de la lingerie fine et quelques joujoux, je te souris coquine, tu t'éloignes vers une autre, pendant que je choisi un petit déshabillé qui te feras fondre et des menottes ce qui manque à ma panoplie. je te rejoint mon petit paquet à la main contente de mes achats, nous voilà en direction des salles de gym et de spa, humm que j'adorerai un petit massage

J'ai opté pour le massage naturiste californien et tu n'as pas dis non malgrés la promesse que tu m'aie fait faire
 
Le lieu était tout en boiseries, clean et reposant.  
La pièce dans une quasi-pénombre uniquement éclairée par des bougies. Il y avait une musique d'ambiance un  endroit absolu de détente.  
Nous étions donc là pour une heure. Nous avons pris une douche rapide avant et on nous a offert un coktail avant de commencer.  
 deux masseuses nues plutôt jolies, bien "faîtes" et bronzées sont arrivées 
Le massage commenca sur le dos, toutes les parties du corps étaient massées et caressées. 
la mienne m'émoustillée mais je ne voulais pas craquer pour ne pas te décevoir
Ensuite, on passa sur le ventre, on pouvait alors bien voir les jeunes femmes nues qui nous massaient et là tu eu une érection, tu fut gêné, et rougit elle te répondit qu'il n'y avait pas de honte à avoir et que si tu le souhaiter elle pouvait te soulager, tu me regardas, et te laissa faire quelques instant avant de lui demander de me laisser la place,



 
pour que je lèche ton sucre d'orge, elle ne fut pas offensé et s'écarta, je pris donc en main ta hampe et me mis à te sucer devant nos deux compagnes qui se mirent à se carresser tellement le désir se sentait dans la pièce.
tu te plaquas sur le table quand l'orgasme vint, j'en avais plein la bouche mais n'en perdit pas une goutte et je repris ma place pour le final, les masseuses se positionnèrent au dessus de notre tête pour quelques derniers effleurements. 
 
ce fut très relaxant ...

nous avons repris une douche mais cette fois à deux, comme tu les aime, tu t'en voulait un peu que je sois resté sur ma faim et tu décidas de me faire plaisir!!
tu pris l'éponge que tu avais imbibé de mousse et commencé à me frotter le dos, tu me massé avec une telle délicatesse et sans précipitation, je fondais littéralement, tu passais de mon dos à mon ventre pour remonter sur mes seins, l'eau chaude coulée et me rincée en même temps, tu me mordillé les tétons qui se dardés à l'extrême,


avec ta langue tu descendit jusqu'à mon antre, tu explorais ma grotte avec minutie comme pour ne pas en perdre une miette, un orgasme me fit tréssaillir, tu avalas tout mon miel et remonta jusqu'à ma bouche pour m'embrasser fougueusement, je voulu prendre ton sucre d'orge en main, et tu t'écarta légèrement tout en me chuchotant, le plaisir t'es réservé ma douce, et tu repris tes carresses jusqu'au deuxième orgasme et nous entendire frapper légèrement à la porte, une des masseuse qui venait nous prévenir qu'il était tard et qu'il fallait sortir, on éclata de rire.

cette croisière me plaisait infiniment, je choisi une autre tenue pour le resto qui était tout aussi une petite robe noire droite mais courte, j'enfilais aussi des bas tenus par un porte jarretelle noir avec des noeuds rouge, et des souliers à talons.

toi tu enfila un smoking ce qui me plaisais beaucoup car tu n'en mets jamais d'habitude.

nous voilà arrivé au resto ou tu demande un petit coin tranquille tu n'as pas envie que toutes les paires d'yeux se fixent sur moi, dans ce cas il ne fallait pas changer le contenu de ma valise mon chéri, le serveur nous amène à une table entouré de verdure ou effectivement nous sommes à l'abri des regards, nous avons pris un coktail avant l'entrée et je te faisais les yeux doux et du pied, je n'avais qu'une envie me glisser sous la table pour te faire une gâterie, ce que je fit une fois l'entrée avalée, je ne tenais plus et quand le serveur arriva pour te demander ce qu'on voulait ensuite, tu prétexta que je m'étais absentée pour me repoudrer le nez, je te mordi légèrement et tu sursauta le serveur te dit alors avec un sourir amusé qu'il repasserait aprés, tu levas légèrement la nappe pour me dire que j'étais incorrigible, je te souriais tout en te léchant et en te gobant, je te branler, et tu jouie dnas ma bouche humm, il ne fallait pas laisser de trace, ce ne serait pas convenable, je sortie de dessous la table quand le serveur revint, je lui fit un clin d'oeil et il prit le reste de notre commande. le dîner se termina calmement, et romantique à souhait.


nous décidons alors de finir la soirée dans notre chambre, mais une fois dans le couloir, l'envie te prend de me carresser à nouveau, je me laissais faire quand un autre couple choqué de notre attitude, nous fit rire à nouveau c'est alors que nous avons rejoint notre chambre en courrant.

tu ouvrit la porte et je me suis allongée sur notre immense lit, tu sortit mes joujoux de la valise, gode vibrant, huile etc ..., je décidais donc de te montrer mes petits achats de l'aprés-midi, dans la salle de bain, j'enfilais mon déshabillé, un petite liquette noire transparente avec le petit string vendu avec et je sortit les menottes du sachet.



tu étais nu sur le lit tu m'attendais, je commença par te caresser avec l'huile, tu étais déjà dur comme de l'acier, je te branla et goba ta hampe, puis tu pris les menottes et m'attacha au lit, j'étais à ce moment là ta soumise et tu te régala de tous mes orgasmes, puis tu me détachas, et ce fut ton tour, je me suis empâlé sur toi et la cadence changea et devint violente nous eûmes un orgasme de folie, je te détacha et nous nous écroulèrent sur le lit, pour nous endormir le sourire aux lèvres.

les jours qui suivirent nous avons testé d'autres endroits du bâteau, comme les toilettes du casino, les fauteuils de la salle de spectacles , trés sombre donc trés agréable pour les préliminaires, la boite de nuit, le pont, enfin je crois que tout le bâteau y est passé.

ce fut une semaine de folie et d'amour et j'espère qu'un jour nous pourrons recommencer.



je t'aime mon coeur.
 
Par ninilove - Publié dans : poèmes coquins
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Vendredi 28 août 5 28 /08 /Août 22:56

Sur ta peau se mêlent la sueur et le sel de cette journée sur la plage. La salle de bain est fraîche. Eau chaude sur tes coups de soleil, tu frisonne. Comme à chaque fois, tout rejaillit d'un coup, ton impuissance à créer, les doutes, l'absence...

je me suis glissée, silencieuse, derrière toi, je me colles. Ton corps réagit, c'est une autre brûlure qui agit, c'est ma main qui court sur ta poitrine, pince un mamelon, frotte, savonne...


Elle glisse sur ton ventre ; je sais que tu bande déjà, mais il faut que je vérifies.

Tu laisse échapper un gémissement quand je te saisis à pleine poignée. Ta verge se gorge de sang. Elle est tendue à te faire mal. Je caresses, je sens les veines qui palpitent.

Nous bougeons sur la même cadence, sous les gouttes brûlantes. Mon ventre s'est emboîté dans le creux de tes reins, le duvet humide de mon pubis frotte contre tes fesses.

Je te branles, plus vite.

Nous partageons le même souffle. Parfois, je m'arrêtes, je refuses ta jouissance. Tu te cambres, tu me supplie.



L'orgasme t'arrache un cri, je poursuis le mouvement, la jouissance se prolonge.

Tu souffles. De petites tâches blanches disparaissent dans la bonde. Tes doutes et Tes peines. Le sentiment d'une paix infinie t'envahit.

Tu m'embrasse, à pleine bouche, enfin.

A l'oreille, je te chuchotes : "On recommence ?" ^^
Par ninilove - Publié dans : poèmes coquins
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Vendredi 28 août 5 28 /08 /Août 22:12

 J'aimerais...

que tes mains se perdent sur la douceur de ma peau, que tu sentes les pointes de mes seins durcir sous la caresse. Je m'appuie, dos sur ton torse, pour que tu m'offres... tes mains posées sur ma taille et mon ventre remontent le long de mes côtes, doucement, langoureusement, pour venir soupeser mes seins, puis les caresser de côté. Laisser frotter tes dents sur mon cou offert, le longer de la pointe de ta langue... je frissonne, s'il te plait... j'emplierai tes oreilles et tes souvenirs de mes soupirs, et de mes gémissements! Je voudrais que ton sexe durcisse contre mes fesses ne t'effarouche pas, que j'aimes ce contact, que tu le cherche, que tu le veuilles. sans redouter que ses conséquences virent à la fusion de nos corps. En l'espérant, même. Sens-moi palpiter d'envie! Laisse-moi redescendre... Ta langue dans mon cou passe sur la nuque... S'il te plait, ne t'esquive pas, pas maintenant... redescend lentement le long de ma colonne vertébrale, tes mains suivant le mouvement en épousant mes formes: côtes, taille, hanches. Je me cambre quand tu arrives au creux de mon dos, pour mieux m'offrir encore à la caresse de ta langue avide. ton sexe ne touche plus ma peau, il est là, en dessous, loin mais tendu vers moi. Il est aussi dans mon esprit, comme une promesse que tu me sais pouvoir tenir et dont tu veux la réalisation... Ta langue passe sur mon coccyx puis s'engage entre mes fesses, n'interrompant sa course de temps en temps qu'une fraction de seconde pour aller chercher un peu d'humidité dans ma bouche enflammée. Je t'en prie, je t'en supplie, laisse-toi aller! poursuis ta descente... Ta langue passe sur mon anus que tu sens trésaillir, puis tu écartes légèrement mes cuisses pour  poursuivre ta route: mon périnée avait envie que tu t'occupe de lui. Je me tourne face à toi, pour que tu continue ta route, t'engager entre mes lèvres intimes, les visiter, profiter de chacun de leurs plis. tu dévores mon sexe qui te réclame... Puis la route t'amène à mon clitoris tendu. Juste un petit coup de langue pour débuter, pour me faire sursauter et imprimer mon petit cri de plaisir dans ton esprit. tu veux que je jouisse ainsi. tu feras tout ce qu'il faudra pour ça, et ta langue, lentement, me prouve ta détermination. Lorsque le front posé sur mon ventre, tu sentiras ce gonflement de mon clitoris annonçant l'orgasme imminent, tes mains sur mes fesses me presseront pour accompagner mon explosion. Ensuite... tu me laisseras carte blanche...

Par ninilove - Publié dans : poèmes coquins
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Jeudi 27 août 4 27 /08 /Août 15:33
aujourd'hui nous décidons de rendre visite à ton amie qui tiens une ferme avec son mari
tu me dis chérie habille toi simple car à la ferme pas question de mettre des talons hauts
j'enfile donc un top avec une petite jupe mousseline le tout noir et des petite bottes.
nous voilà parti, trois heures de route pour arriver chez pierre et coralie.
sur le chemin nous trouvons une petite clairière, et tu décide de t'arrêter tu as besoin de te dégourdir les jambes
un tentinet coquine je te propose une gâterie pour te détendre que tu ne me refuse absolument pas,
je commence à te carresser par dessus ton jean's et je te sens déjà monter, je sors alors ton sucre d'orge de son écrin pour te sucer, tu ne peux t'empêcher de passer ta main sous ma jupe et me carresser à ton tour, nous entamons un 69 avec tendresse et atteignons trés vite l'orgasme.

nous décidons de repartir car nos amis vont s'inquiéter, il reste à peine une heure de route
nous arrivons ils sont sur le pas de la porte, ils nous attendent


à peine arrivé coralie décide de nous faire visiter, tu me dis d'y aller que tu veux prendre un café d'abord avec pierre.
nous voilà partie donc toutes les deux, tu me vois sourire sournoisement tu sais qu'elle me plait.

nous arrivons dans la grange elle m'explique les tâches qu'elle doit accomplir avec pierre tous les jours, je lui répond qu'elle ne doit pas se détendre souvent, elle se laisse tomber sur la paille et me dit que malheureusement non elle n'a jamais de répit. je lui enlève un morceau de paille qu'elle a dans les cheveux et en profite pour lui carresser l'épaule, elle rougit et me dit que dans sa vie elle n'a connu que pierre et que des fois ben même au lit elle s'ennuie.
je lui propose un petit jeu qui je suis sûre lui plaira,

 

je lui ai carresser son corps elle était toute émoustillée, je me déshabilla devant elle et l'invita à m'imiter, elle pris de l'assurance et se mis à me lécher l'abricot que j'en venais à me demander si vraiment elle n'avait eue que pierre dans sa vie, je l'a pris en 69 une de mes position préférée, et lui prépara une feuille de rose qu'elle sembla appréciait,je la fit jouir qu'à l'autre bout de la ferme j'étais presque sur que nos homme l'avait entendu, elle me renda mon plaisir et je fit assaillie par l'orgasme.

nous nous sommes rhabillée et elle me remercia pour ce moment qu'elle n'oublierait jamais.
aprés avoir rejoint jérôme et pierre, elle nous prépara un repas succulent elle avait en plus des dons de cuisinière, 
une fois le repas terminé coralie nous montra la chambre d'amis, et nous prière de l'excuser, ils devaient se coucher tôt car les bêtes le matin ne pouvaient attendre.
je décida d'emmener jérôme visiter les lieux


une fois arrivé à la grange je lui raconte comment j'ai pervertie notre douce hôtesse, ce qui t'esmoustillé aussi
tu attrappa ma jupe la leva,arracha ma culotte et dévora mon abricot, je me retrouvée transi plaquée contre la roue du tracteur, je pris ton sucre d'orge en main et l'absorba jusqu'à ce qu'il disparaisse complètement dans la bouche.
nous nous sommes allongé sur la paille et je me mis à califourchon sur toi pour mener la dance, quand le moment arriva ou tu aller jouir tu me plaqua au sol leva mes jambes et repris tes aller retour, pour qu'enfin nous jouissions de plaisir, nous sommes resté là jusqu'au petit matin allongé l'un contre l'autre recouvert de paille, nous dormions comme des bien heureux quand pierre entra dans la grange et nous vis là allongé, un sourire de coin il sortit à pas de loup pour nous laisser le temps de nous rhabiller avant de sortir.
Par ninilove - Publié dans : poèmes coquins
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